« Cela fait plus de 25 ans que nous vivons au Mali et, même si au fond de notre cœur nous nous sentons un peu d’ailleurs, nous avons adopté le Mali pour notre patrie et nous nous y sentons » a lâché le porte parole des réfugies mauritaniens, Allasane M’bo, lors de la remise officielle des extraits d’actes de naissance, tenue ce

Détention :

- 20 visites effectuées dans 10 lieux de détention, auprès de plus de 1 600 détenus ;

- 53 messages Croix-Rouge et Salamat contenant des nouvelles familiales échangées entre des détenus et leurs proches ;

- 6 vidéos conférences entre un détenu de Guantanamo et sa famille en Mauritanie.

Lors d’une discussion avec un ami sur la communauté soninké (l’histoire, l’ouverture, l’immigration et développement, et l’implication politique), il m’a lancé sur la figure cette phrase qui a attirée toute mon attention « Je suis soninké mais je n’en suis plus fier ».

L’année 2015, commence dans notre pays par le lancement d’une idée de dialogue inclusif entre le pouvoir et l’opposition pour désamorcer la crise politique, économique, sécuritaire et sociale dans laquelle se trouve notre pays.

La Journée internationale de la femme est célébrée dans de nombreux pays à travers le monde. C'est un jour où les femmes sont reconnues pour leurs réalisations, sans égard aux divisions, qu'elles soient nationales, ethniques, linguistiques, culturelles, économiques ou politiques.

Dans la nuit du 26 février notre regretté père et oncle TENGUELLA AMADOU DIADIE BA quittait ce monde à l'âge de75 ans. Ce décès constitue une perte pour toute la Mauritanie.

La Mauritanie célèbre, aujourd’hui, pour la première fois de son histoire, la Journée Nationale de lutte contre l’esclavage, qui coïncide avec l’anniversaire de l’adoption par notre pays, le 06 mars 2014, de la feuille de route relative à l’éradication des formes contemporaines de l’esclavage.

La Journée internationale de la femme, ou Journée internationale pour les droits des femmes, est célébrée le 8 mars.

Certains médias ont rapporté aujourd'hui que le gouvernement, en la personne du ministre des mines, a laissé aux ouvriers de la SNIM en grève depuis plus d’un mois, le choix entre la reprise immédiate du travail comme condition pour l'ouverture de négociations et l’effondrement de la société nationale.

Des centaines de travailleurs de la société minière SNIM ont organisé jeudi 5 mars 2015, à Zouerate, une marche de protestation sur la persistance de la société dans sa position, après le passage du ministre et sa délégation et sa demande de mettre fin à la grève et retourner au travail comme condition à toute négociation.