D'où vient le problème? Le maire élu au deuxième tour est entre deux feux des géants claniques qui se disputent la gestion de la région depuis l'indépendance comme deux grosses boites qui se battent pour des marchés.
Nos politiciens, une fois élus, changent de parti ou de tendance comme on change de chemise. Refusant ainsi de jouer le jeu démocratique et ne pensant rien qu’à leur ventre et à leurs intérêts personnels, ils tuent notre jeune démocratie et nourrissent désespoir. Ils nous déshonorent en un mot.
Le Président du Mouvement Pour la Refondation (MPR), Dr Kane Hamdou Baba a été l’invité mercredi 12 mars 2015, du journaliste Ahmed Wodiaa dans son émission « VI ES SAMIM » de la chaine de télévision privée Mourabitoun.
Lors d’une discussion avec un ami sur la communauté soninké (l’histoire, l’ouverture, l’immigration et développement, et l’implication politique), il m’a lancé sur la figure cette phrase qui a attirée toute mon attention « Je suis soninké mais je n’en suis plus fier ».
La déclaration d’AJD/MR, un parti d’opposition mauritanien parue sur cridem en ce 6/3/2015 suscite d’interrogations. La lecture d’une telle déclaration nous pousse à nous interroger s’il ne serait pas plus juste de parler d’exilés ou de réfugiés quand il s’agit des mauritaniens se trouvant au Mali depuis1989 ?
L'ancien candidat sénateur, nommé Sidi Ould Dahi, invité de l’émission «l’Invité et la question », tenait, sur la télévision privée « Al watanya », des propos d’apologie du crime politique et ce, en face du journaliste Abdoul Mejiid Ould Ibrahim.
Franchement certains africains sont complètement dépassés, comment peut-on admettre ou réduire des propos appuyant, soutenant, légitimant le plus grand crime contre l’humanité commis sur des africains, qui est l’esclavage émanant d’une personnalité pas n’importe laquelle, un ancien chef d’état africain, un panafricain nous chan
Il est assez fascinant de constater que les syndicats font l’objet de reproches contradictoires lorsqu’il s’agit de savoir qui ils défendent. On les accuse d’être corporatistes et de se mêler de ce qui ne les regarde pas, la politique.